Il y a des choses que l’on sait, mais qui, parfois, sont nécessaires d’être répétées. Pour nous en rappeler, pour ne pas tomber dans la banalité, pour, toujours, se sentir concerné.e.s. Et pour pouvoir réagir, agir et participer aux indispensables changements.
C’est ainsi le cas :
-des droits des femmes et de leur place dans notre société qui reste toujours à construire dans l’égalité avec les hommes ;
– des inégalités qui persistent dans l’École et que les tests de positionnement de seconde mettent une fois encore en lumière ;
– d’une marchandisation rampante dans l’Éducation alors que l’École publique est mis en difficulté un peu partout dans le monde ;
– d’un débat stérile entre modernes et antimodernes qui empêche de vraiment évoluer en pédagogie et de mieux prendre en compte les élèves ;
– des petites villes qui ont certes des atouts pour attirer les jeunes, mais dont les handicaps les condamnent à rester des lieux de vie pour familles et séniors ;
– de la difficulté d’être femme et syndicaliste dans un monde de pouvoir et d’hommes ;
– et plus généralement de la nécessité de construire un syndicalisme différent comme tente de le faire, à petits pas, l’UNSA depuis 30 ans.
C’est aussi le cas des conditions de travail des personnels de l’Éducation invités à l’exprimer dans la 11e édition du baromètre de l’UNSA Éducation qui se déroule jusqu’au 5 avril prochain.
[Quoi de 9 ?] de mars 2023 est à retrouver ici :
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